J’aime bien le « hasard ». Le hasard des rencontres improbables. Des choses qui tombent tellement bien que l’on dirait une parfaite orchestration. Certains appellent cela « synchronicité». J’ai longtemps hésité à en parler publiquement. Fallait il une « perte » de plus pour comprendre ?
Je pense en ce moment à Jean-Louis, à sa famille, ses amis qui touchent cruellement le poids de l’absence. Fallait-il la confirmation d’une discussion, hier soir, qui s’éclaire, encore mieux, à l’aune de ces quelques mots ?