Clin d’oeil en forme de contre pied à l’un de mes artistes préférés avec son célèbre album “bad news from the stars”, sorti il y a quasiment 43 ans jour pour jour (17 Novembre 1981), il y avait en ouverture ceci :
A ce qu’on dit, la phrase la plus dangereuses dans “le business”est le fameux: “mais … on n’a toujours fait comme ça”. Sous entendu: “pourquoi changer ?” ou même: “pourquoi moi ?”, “Je ne faisais pas assez bien mon travail ?” ou pire “ça ne marchera jamais”.
Je crois que tous les Entrepreneurs l’ont entendu au moins une fois dans leur vie, avec son célèbre cousin; “tu n’y arriveras pas”.
Il y a deux types de censure. La pire est celle que l’on s’impose, de peur de froisser, de gêner, de déranger. On finit par se transformer pour tenter de devenir conforme à l’image de ce que l’on croit que les autres attendent de nous. Faire et dire des choses qui ne sont pas nous. Je ne parle pas de la différence entre l’égo et le moi profond. Non je parle bien de l’égo qui se façonne au fur et à mesure du temps, en fonction de conditions et de circonstances extérieures.
Vous savez, c’est le fameux “attention tu vas tomber”, “tu n’y arriveras pas”, “tu ne comprends jamais rien”, … le fameux tu qui tue. On voit d’ailleurs très bien qu’à chaque fois on parle de la personne, sans s’en rendre compte et non à ce qu’elle fait. Dans d’autres pays, on y fait plus attention. On met les formes et à un moment quand l’autre ne comprend toujours pas, on en arrive vite au “tu FAIS de la m*”. En France, curieusement on prend les choses, trop vite, pour nous. Le verbe FAIRE cède le pas au verbe ETRE. On ne fait pas, on est … au risque de le devenir.
C’est profond ce genre de “manipulation”. C’est même un système politique. On parle de panoptisme. En se sachant regardé, espionné, on transforme son comportement. On en a même fait des prisons réelles, bien avant que l’on se demande si, avec le numérique, on n’en soit pas arrivé aux prisons virtuelles.
Donc ici, je vais plutôt vous expliquer pourquoi je ne vais plus alimenter, enrichir des forums d’autres, comme ceux de Boursorama. Désolé pour ceux qui étaient heureux de m’y retrouver. (oui, j’en ai aperçu un ou deux ;-)). Venez à la “source”, c’est à dire ici. Suivez mon compte Twitter/X, Linkedin, Threads. Pas difficile.
Un jour, vous vous connectez et découvrez vos messages modérés censurés, sans explication, sans avertissement. Arbitrairement. J’avais déjà donné avec Wikipedia, comme beaucoup, mais au moins on pouvait avoir une explication et des humains. Ici, (forum Boursorama), c’est trop fort. Peut être qu’un grincheux, un concurrent vous a “disliké”.
Le résultat est là et vous décidez de ne plus participer … “On arrête de jouer”, comme je le disais d’Internet, il y a fort longtemps.
D’un coté, nous (les Entreprises) avons l’habitude de communiquer avec nos interlocuteurs classiques. Les financiers, les banquiers, les journalistes, les commissaires aux comptes, nos clients, nos prospects et même des relais d’opinion, comme le graal de la place parisienne, le Saint Simon de la bourse de Paris, j’ai nommé : Eric Lewin. Mais de l’autre, à partir du moment où nous entrons en bourse, un nouveau public apparait. Un public de plus en plus aguerri sur la bourse elle même. Un public exigeant. Un public qui gère, comme les financiers, des “lignes” et tout comme les financiers, un public qui peut avoir des objectifs et des horizons très différents: court, moyen, long terme, mais qui comme beaucoup de professionnels, n’a pas forcement le temps de s’intéresser en profondeur à un secteur, à une entreprise, à sa stratégie et comme eux parfois, qui se réfère à des métriques classiques (chiffre d’affaire, croissance, rentabilité) et ont beaucoup de mal à évaluer le capital immatériel d’une Entreprise et son potentiel.
Tandis que les professionnels de la profession ont leurs propres analystes, ont accès aux analyses de sociétés spécialisées (ndlr: pas assez nombreuses, nous souffrons en France d’un manque d’analystes de valeurs high tech) et sont régulièrement conviés aux réunions SFAF que nous organisons tous les ans (prochaine réunion pour nous le 23 mai), les petits porteurs (et oui, on dit comme ca, tout comme pour nous, on dit “small caps” ;-)) en sont réduits à se débrouiller.
Lecture de journaux spécialisés de moins en moins nombreux. Lecture de sites web de qualité variable. Apprentissage divers et varié des fondamentaux de la bourse (avec un, un peu trop grand pour moi, focus sur l’analyse value … j’y reviendrais) et, ce qui n’existait pas avant: présence régulière dans des forums plus ou moins dédiés. Jeuxvideo.com semble avoir cédé sa place à d’autres endroits plus qualitatifs.
Curieusement l’anonymat y est encouragé. Je me suis toujours demandé pourquoi. Mais bon … soit. Surement pour favoriser l’audience et l’engagement. Plus simple quand on est anonyme et ce fameux sentiment d’impunité. (FBI = Fausse Bonne Idée) Depuis le fameux Anon.pene, dont les plus anciens se souviennent peut être, j’ai ma vision assez claire du sujet. Et je vais vous avouer un “secret”. La plupart des professionnels de la communication déconseillent assez clairement de participer à ces forums. Et maintenant, à l’aune de mon expérience, je pense que dans la plupart des cas, ils ont raison. C’est dommage car cela permettrait d’engager un vrai dialogue de qualité entre des gens qui n’ont pas forcément souvent droit au chapitre. Et je parle bien ET des “petits porteurs” ET des “Small Caps”.
L’effet que j’ai souvent observé, c’est qu’il suffit d’un ou deux “excités” pour réduire à néant les meilleures volontés du monde. Et ce, quelque soit le sujet, quelque soit le moyen. On parle des fameux “haters“, dont beaucoup de sites en font leur fond de commerce. Je ne parle pas des gens qui sont objectivement déçus, qui cherchent à comprendre, qui restent respectueux … ce sont souvent les meilleurs défenseurs de l’Entreprise, une fois les explications faites. Non je parle vraiment des “haters”. De ceux qui, sous couvert d’un pseudo anonymat, vont se défouler. Avant on payait un psy pour se raconter. Ensuite, moins cher, on appelait la hotline de son fournisseur d’accès ou les pires, allaient “corriger” leur femme et / ou leurs enfants. Maintenant l’égo en mal de bataille, “ferraille” dans des forums. Et moins il y a de caractères pour s’exprimer, mieux c’est. On en est même revenu au temps des hiéroglyphes. On renforce la “binarisation” du monde et l’absence de nuance : J’aime / J’aime pas.
Mais tout cela serait presque admissible sans un autre phénomène beaucoup plus sournois : la censure. Il semble qu’il y ait deux poids et deux mesures chez certains. A quoi cela sert-il de tenter de participer, de passer du temps à répondre pour au final, le même résultat qu’une bouteille à la mer ? N’a-t-on pas mieux à faire ? L’excès de censure modération, malgré les résultats économiques à court terme, n’est-il pas un procédé qui affecte la confiance et donc la pérennité de son futur, à terme ?
De quoi je parle ? quelles conséquences ? vous le saurez dans un prochain billet et vous saurez tout pour retrouver toute l’information nous concernant ou pour me (re)trouver 😉 Stay tuned !
Alors Glassdoor, c’est typiquement quelque chose qui ressemble à une bonne idée, qui en a le gout, la couleur … mais qui est une stupidité fondamentale. Ce site dont le business model est d’offrir une tribune ouverte à tout et n’importe quoi sous prétexte de transparence, mais d’en profiter pour tenter de prendre de l’argent aux Entreprises, sur qui l’on crache, en mal de recrutement.
Oh rien de nouveau. On a même inventé un terme : les haineux. C’est humain. On a plus l’habitude des trains qui arrivent en retard, des problèmes, que de ce qui va bien. C’est même un business modèle de “l’information” en continu. Nous naviguons dans un flot perpétuel d’idée noires, sombres. D’éléments qui tirent vers le bas et feraient penser que tout est comme cela. Et même curieusement, on dirait que le Français est plus prompt à ce sport que d’autres.
En tous les cas, comment pensez vous qu’un ancien collaborateur, à qui l’ont dit que l’on va devoir cesser notre collaboration, va réagir ? Ce que je peux vous dire c’est qu’en France, la réaction est toujours plus épidermique et violente que dans d’autres pays. Il y a une sorte de confusion entre ce que font les gens et ce qu’ils sont. Il y a même parfois une non prise en compte des avertissements. Je pourrais m’étendre sur le sujet, mais je vais être trop long.
Aussi, je vais faire mieux que de commenter des commentaires faits sous couvert d’anonymat bien sur … c’est toujours plus facile. Et d’ailleurs, comment y apporter le moindre crédit ? Pourtant quel problème cela poserait si, ce qui était dit était vrai, de le dire à visage découvert ? Cela serait il dit de la même façon ? Et c’est là que Glassdoor pose un vrai problème. La personne morale est trainée dans la boue et n’a même pas le droit de répondre, d’expliquer. Alors à quand un site à l’envers ? Vous imaginez: un site fait par les personnes morales et notant, expliquant nominativement ce qu’il faut penser de telle ou telle personne. Bien sûr cela serait anonyme pour la société 🙂 🙂 🙂 Affreux non ? alors pourquoi refuser à l’un ce que l’on accepte de l’autre ?
Une personne morale, cela se respecte aussi. Ce n’est pas qu’une “boite”. Cela porte des valeurs, des combats, des réussites et des échecs. Des joies, des peines qui ont permis de construire, de grandir, qui ont permis de FAIRE. Bref, là aussi c’est un sujet que je traiterais dans un autre billet. Je vais être trop long.
Alors pour finir, je disais que j’allais faire mieux. Je vais juste vous publier des messages que des collaborateurs font souvent @all, quand ils partent. Ils ne sont pas obligés. Je n’ai rien ajouté, ni même choisi tel ou tel message. Juste pour vous dire que non, il n’y a pas un problème particulier chez nous. Nous sommes très attentifs concernant nos collaborateurs qui sont la première “incarnation” d’une idée force, de nombreux efforts, d’une confiance … d’une personne morale. De grandes responsabilités sont souvent mises entre leurs mains. Des erreurs arrivent parfois, mais c’est le prix accepté à payer pour faire grandir nos collaborateurs. Bon, si l’erreur se renouvelle plusieurs fois, là c’est un autre sujet … qui arrivera possiblement jusqu’à un commentaire “dithyrambique” sur Glassdor 😉
J’espère que leurs auteurs ne m’en voudront pas. Je ne cite pas leur nom, n’ayant pas demandé leur accord pour cela. Ce sont juste les deniers messages envoyés sur 2 ans. Et ne pensez pas que nous avons un important turnover. Il y a des gens que nous “prenons” très jeune et à qui nous faisons confiance vite et qui veulent vivre d’autres expériences. D’autres qui sont dans des contrats VIE et que nous ne pouvons pas garder. Et puis aussi, une aventure comme Witbe, ce n’est pas fait pour tout le monde. J’en conviens. Il faut plus qu’un diplôme qui ne prouve pas grand chose. Là aussi, j’y reviendrais :
Demain c’est mon dernier jour, après presque 8 ans et 5 postes différents, j’ai commencé comme support à NY, formé le client, géré leur projet, fort de toutes leurs expériences j’ai formé les nouveaux arrivants et fait en sorte que chacun puisse avoir la meilleure documentation, et enfin j’ai trouvé mon chemin vers la R&D pour aider à développer notre produit. Je suis heureuse d’avoir pu partager ces moments avec vous, Witbe m’a vue grandir de jeune adulte à femme indépendante, m’a appris de nombreuses compétences pendant toutes ces années et il est maintenant temps de prendre mon envol et de revenir à mon premier amour. Pour ceux qui me connaissent, vous ne serez pas surpris, je vais mettre plus d’art dans mon quotidien. Restons en contact si vous voulez en savoir plus sur ma future vie artistique !
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Cher(e)s collègues.
C’est mon dernier jour chez Witbe – et je ne pouvais pas partir sans le traditionnel email d’au revoir et de remerciements.
Pour commencer les remerciements, il va de soi de remercier la direction, Marie Véronique, Mathieu, Yoann et Yann (aussi) sans qui je n’aurais pas eu ce travail. … Il faut aussi féliciter Stéphane, d’avoir pu garder sa motivation sur toutes ses années suite à nos nombreux déplacements / salons. Mon binôme de cœur chez Witbe. ❤ Un grand merci pour sa bonne humeur quotidienne et sa joie qu’il partage avec tous ses collègues : « Jamais râleur, toujours de bonne humeur », c’est sa devise !!! … Grosse pensée aux équipes CSM, Support, Scripting, Marketing, Administration (sisi, le bureau caché au fond à gauche à Nanterre, il y a des gens la bas aussi !!! ) et R&D sans qui l’aventure n’est pas possible, ce sont bien eux les rouages de Witbe qui font que les projets se réalisent, fonctionnent, et rendent les clients contents et fier d’utiliser la technologie Witbe. … Je pars avec beaucoup de souvenirs en tête, de beaux moments de vie, de belles réussites et de challenges. Et surtout en se rappelant qu’ensemble, c’est possible. A tous, je vous souhaite une excellente continuation, de beaux projets, de belles roadmaps, de beaux produits, et belles ventes !!
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Chers collègues,
J’espère que vous allez tous au mieux ! Pour ceux qui ne le savent pas je quitte Witbe cette semaine… bon, et je vais arrêter de copier Maxime plus longtemps ! 😉
Je tiens à remercier en premier lieu tous les collègues avec qui j’ai pu travailler. Cela a été un vrai plaisir de pouvoir interagir dans la bonne humeur avec des personnes aidantes et consciencieuses venues de tous horizons, toujours prêtes à parler voyages, en français, espagnol ou portugais. Un merci tout particulier à mes responsables successifs, principalement Vincent, mais aussi Ramon et plus brièvement Joao. Je m’estime chanceux d’avoir eu comme interlocuteurs principaux des personnes avec un management au top, bienveillantes, à l’écoute et constructives. Enfin, merci à la direction pour m’avoir donné cette opportunité d’évoluer à l’international, et fait que ces déjà 6 années à Witbe passent si vite… toujours riches en surprises et rebondissements de dernière minute, qui m’ont permis de briser la routine et de gagner en expérience sur des missions très variées !
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Bonjour Witbe,
Après 3 ans et 4 jours, il est temps pour moi de laisser place à une nouvelle aventure. C’est avec une certaine émotion que je rédige ce mail, et je ne sais pas vraiment par où commencer.
Witbe a été mon 1er vrai job et dès le 1er jour, je savais que ça allait être quelque chose de génial. J’ai commencé par aider au déménagement des bureaux de La Défense pour ceux de Nanterre, et tellement de choses se sont passées entre-temps. En passant par la gestion de la logistique avec l’équipe infra de France, puis avec l’équipe infra US de Massapequa et jusqu’à demain, un poste au marketing de Manhattan… Je n’aurais jamais pensé pouvoir obtenir de telles choses.
Cette expérience aura été très riche, sur le plan personnel et professionnel. Witbe m’a fait grandir et m’a permis de rencontrer des personnes géniales. Cela n’a pas toujours été un long fleuve tranquille, mais c’est sûrement la raison pour laquelle je me suis senti “envahi” par mes missions et que j’ai toujours voulu faire au mieux pour accomplir mes tâches avec succès.
J’ai tellement de choses à dire que je n’arrive pas à écrire tout ce que j’ai sur le cœur, alors je préfère rester soft.
Simplement, merci. Merci à tous ceux qui ont été là pour moi, toutes les personnes avec qui j’ai collaboré ont contribué à mon évolution. Sans vous, rien de tout cela n’aurait pu être réalisable. Merci à MVL, JMP, MPL et Arnaud de m’avoir offert cette opportunité, je n’oublierai jamais. Ça a été une chance et une opportunité en or de vivre ce que j’ai vécu, c’est dur mais je dois vous dire au revoir.
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Bonjour à tous, Après 4 ans d’alternance chez Witbe, le moment est venu pour moi de vous dire “au revoir”. Witbe a été une aventure incroyable où j’ai eu l’opportunité de travailler avec des collègues vraiment exceptionnels et bienveillants. Merci pour votre confiance et à toutes les opportunités qui m’ont été offertes. Pour marquer le coup, je vous propose de faire un petit pot mardi soir au bureau de Paris ou dans un bar à proximité. J’espère vous y voir nombreux pour vous dire au revoir et partager quelques derniers bons moments ensemble. 🙂
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Bonjour,
Un petit mot pour vous dire au revoir.
Après plus de 4 ans chez Witbe, nos chemins se séparent. Je m’aventure dans l’entrepreneuriat et déménage à l’île de la Réunion.
Ce n’est sans émotions que je vous quitte, car j’ai passé des moments inoubliables avec vous. Je me souviens de mes premiers jours à La Défense, formé par Edouard, et baigné dans la bonne ambiance de l’équipe Support. S’ensuit une aventure extraordinaire à Montréal avec l’équipe canadienne (GO HABS GO !). J’ai aimé tous les moments partagés avec vous au Canada. Puis un retour en France, possible grâce à la flexibilité de Witbe que je remercie pour sa confiance.
Merci à tous les collègues, de m’avoir fait grandir et devenir la personne que je suis aujourd’hui.
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Hi Witbe!
It’s saddens me to say that this was my last day at Witbe. It has been a crazy couple of years, but I had an amazing time working here but unfortunately it was my time to leave. I learned a lot at Witbe and I got an amazing opportunity that I might not have had otherwise, and I hope Witbe keeps growing and thriving in the future.
I want to give a few special shoutouts – … who gave me the opportunity to go to Phoenix. I was able to experience an entirely different state and an entirely different region of the US. I had an amazing time working with the Witbe Phoenix team and I got to make a ton of new memories and experiences that I will remember fondly.
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Hello Everyone,
Today is my last day prior to vacation following which I will be pursuing a new professional journey.
I would like to thank all the colleagues with whom I had the pleasure to work with. You always had my back when I needed your help and I am immensely grateful for that. A special thank you for the different managers that I had throughout the years.
I am very bad with goodbye messages so I will keep it at that and wish every single one of you the best of luck for your endeavors.
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Hello all,
After a bit more than 2 years working with Witbe, today is my last day.
It was a pleasure working in this company and seeing it transform itself during these last 2 years. A bit like Vodafone Group (which was the customer I took care of during my stay), a lot changed for the product and the way to work inside the company : Lots of things were standardized (in the product and with processes) allowing us to bring value to the customer in a much easier way. I’m confident the company is on a very good track to continue its amazing growth and confirm its leader status in the quality of experience in the next years.
Thanks to everyone who helped me along my stay in the company : Simon for my on-boarding The support team helping me to understand a bit the back-end of the product and to resolve the issues of my client over time. The production team helping me understand best practices and giving me some tips at scripting when my client and I were discovering a new use case The R&D which made special feature to the product for Vodafone and keeps improving the product each day The management team for trusting me to work at this position and allowing me to go to Lisbon which was really a tremendous experience
A special thanks to my manager Miguel with which I could share all my thoughts and who was a great advisor in the way to approach the different situations I could encounter.
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Hello everyone!
After four and a half years at Witbe, today is my last day in the company,
I have enjoyed my time at Witbe and appreciate the support and help you all have provided me during these years. I want to thank to @Yoann Hinard and @Mathieu Planche for the opportunity to come to work for such innovative company, where I could take part on interesting projects across latam, this has been a wonderful experience full of challenges and adventures from which I have learned a lot and I take the best memories with me. … I wish you all the best and continued sucess!
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Hello Everyone and Goodbye!
Today is my last day at Witbe, and I wanted to take the time to say goodbye to everyone! I have been with Witbe for more than 5 years and it has definitely be an adventure where I have learned a lot alongside a lot of very interesting and skillful people. I want to thank everyone who I had the chance to learn from and work with :…. and many more. I really enjoyed working with you all and I am thankful for the wisdom and fun you all brought to this experience. Thank you @Jean-Michel Planche, @Marie-Véronique Lacaze, @Mathieu Planche and @Yoann Hinard for giving me the opportunity to come work for this very innovative company, to travel across the globe to go to the different customer’s site and for trusting me during those 5 years. Finally, I want to thank very specifically my manager @Linda Bun-Chuor, who is truly the best manager i ever worked under. Thank you for your patience, your listening skills, for not being afraid to help when needed be, I truly enjoyed working with you and could not have hoped for better.
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Bonjour à tous,
Aujourd’hui était mon dernier jour chez Witbe. Après 3 ans au sein de la r&d à Paris, je tourne la page de cette merveilleuse aventure.
Je tiens à remercier tous les collègues avec qui j’ai pu avoir le plaisir de travailler et d’échanger, merci à Mathieu et Gauthier qui m’ont fait confiance pour rejoindre Witbe il y a maintenant un peu plus de 3 ans et 3 mois, merci à Aurélien d’avoir toujours été présent et á l’écoute.
Je vous souhaite à tous et à Witbe, bonne continuation professionnelle et personnelle.
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Ce billet va être court, car il y a tant à dire que je ne veux ici que donner 3 informations, 3 faits :
Le premier, je me souviens très bien dans les années 2003, c’est à dire après que “les financiers” nous aient cassés notre “rêve” Internet, après ce qu’ils ont appelé “la bulle” … je me souviens avoir rencontré un VC bien connu à Paris pour lui présenter notre dernier né : @Witbe. En 2000, j’avais commis la folie de refuser des financements des meilleurs investisseurs de la place (dont l’une des plus grandes banque d’affaires Américaine) car je trouvais notre projet trop tôt. Pas encore d’équipe complètement constituée, pas de produit et pas de clients. J’avais dit … on se revoit quand on a nos premiers clients pour un vrai retour de marché : folie … la bulle était passée. Bref, en 2003, plus personne ne croyait en rien et surtout pas dans nos startups, l’Internet et tout le “tralala”. Nous étions devenus comme les joueurs de football de l’équipe de France. De maitre du monde en 1998, à moins que rien après juste un coup de tête. Et le coup de tête, je l’ai reçu peu de temps après. Un VC, bien connu de la place de Paris, de me dire: par rapport aux fonds que vous cherchez et au marché, cela ne colle pas. En effet, je veux faire x 10 en 3 ans. Et vous n’obtiendrez pas le chiffre d’affaire nécessaire pour cela. Au revoir … Je crois lui avoir conseillé d’essayer “la drogue”. (en vente, pas en consommation) Et oui, comme les produits de Citroën, on m’aime ou on me déteste, mais l’important est de ne pas laisser “froid” 🙂 🙂 🙂
Le deuxième : L’IPO d’Instacart est très enseignante pour moi. Merci à Racem Flazi, de nous l’avoir mis en évidence. Est-ce que cela veut dire que tous les investisseurs perdent de l’argent ? je ne pense pas … tout dépendra ensuite du parcours en bourse. Mais on est un peu loin des rêves du VC qui disait vouloir faire x 10 sur tous ces investissements … mais qui savait très bien que sur 10 investissements, 1 ou 2 créeraient la rentabilité pour “éponger” les pertes de 4 autres et de 4 qui ne rapporteront rien.
Et maintenant la troisième chose que j’aimerais que vous écoutiez jusqu’au bout et qui vous fera mieux comprendre encore que l’Entreprise est une matière vivante, complexe. Un organisme d’organismes. Que cela se respecte et peut être que c’est d’une autre nature que juste “une ligne” dans un portefeuille 😉 Que chacun est important. On parle souvent des maillons d’une chaîne. C’est vrai. Mais que les fondateurs sont aussi essentiels et ne sont pas toujours la variable d’ajustement sur lequel les uns et les autres tirent, usent et abusent sans merci. Tels le Pharmakon, on peut les voir comme les “coupables”, les “responsables”. Pire ceux que l’on doit bannir, rejeter “hors de la cité” pour qu’ils expient leurs fautes.
Force est de constater que de nombreux scandales, dont celui de Weworks ne leur donnent pas tort. Mais c’est peut être oublier trop vite qu’ils sont aussi une part de la solution. 😉
Ceci dit, les Entrepreneurs ne recherchent pas un titre de gloire, une médaille. Ils peuvent être dominés par leur égo et emmener dans le mur leur Entreprise à force de vouloir avoir raison. Tout cela existe. Mais la majorité que je connais sont pragmatiques et dévoués corps et âme à leur Entreprise. Ils sont bien différents en cela des “gestionnaires” que l’on met souvent à la tête de grands groupes (ou plus petits). Mais ils ne sont pas différents d’un boulanger, d’un menuisier, d’un enseignant, d’un policier, d’un avocat, d’un agent municipal chargé de la propreté d’un quartier … de tous ces gens qui ENTREPRENNENT, c’est à dire PRENNENT LEUR VIE EN MAIN, voir acceptent la responsabilité d’une partie d’autres vies … et qui en sont fiers et debout !
Il est des choses plus graves. En ce moment, on dirait même que la folie des hommes a largement dépassé celle de ceux qui prennent pour habitude de scier la branche sur laquelle ils sont assis ou les classiques gesticulations de certains pour monter les uns contre les autres pour satisfaire leur égo à la prochaine élection. (qu’ils perdront bien évidement, mais auront suscité encore plus de tension, de haine)
Bref, si je ne veux mélanger les choses sur mes différents sites et en particulier celui qui est plus à obédience professionnelle, je voudrais tout de même m’associer à la douleur de ceux qui ont perdu un proche, où qu’ils soient, en Israël, en Ukraine ou partout où l’injustice règne et des innocents en payent le prix. Puissent les véritables coupables, les donneurs d’ordre être un jour, “remercié” à la hauteur de leurs actions. Karma is a bitch ils disent … pas si sur. Pour moi, tout fini par se payer … un jour ou l’autre, ici ou ailleurs.
En parlant d’injustice, merci à @M9949641 de noter sur un forum boursier :
Pour avoir une participation de JMP, il faut qu’un actionnaire publie QQ chose d’injuste… On est tous frustrés ici : les PP qui voient des pertes dues à la descente injustifiée de l’action. Les dirigeants (ou anciens dirigeants) qui voient des pertes dues à la descente injustifiée de l’action. Mais les seconds ont la vision interne de la boîte qui doit les rassurer à long terme. Donc ils doivent rassurer les premiers sans dévoiler des secrets ou faire penser à du racolage. Pas facile !
Beaucoup de sujets sont évoqués ici et on pourrait même rajouter les conséquences pour une Entreprise de se voir couper de ce qui devrait être un puissant moyen de financement pour accompagner son développement. Là aussi nous y reviendrons … mais pensez y. C’est le principe même de la causalité. La causalité, souvenez vous, quelqu’un en parle mieux que moi :
Oui mais vous? Vous le croyez mais ce n’est pas le cas. Vous êtes ici parce qu’on va a envoyés ici. On vous a ordonné de venir ici. Et vous avez obéi. Ce qui est bien sur la loi universelle. Voyez-vous, il y a une seule et unique constante. Une seule règle d’or, une seule et unique vérité absolue : la causalité. Action, réaction. Cause et effet.
Alors les questions sont les suivantes :
la descente injustifiée de l’action : faux … c’est totalement justifié, par le système actuel. Si nous mettions des investisseurs encore plus avertis, encore plus sages, des grands maîtres, des intelligences suprêmes, que se passerait il … exactement la même choses. Ce ne sont pas les hommes qui sont mauvais (enfin pas toujours), mais les règles du jeu. Les mêmes causes reproduisent les mêmes effets. A partir du moment où la valorisation d’une entreprise est jetée en pâture et se fait sur des coups de dés, des analyses plus ou moins sophistiquées qui en oublient la réalité et ne sont que relatives au jour d’avant, les mouvements sont amplifiés et décorrélées de l’économie réelle et même mieux … de l’utilité et du sens.
la vision interne de “la boite”. Bon, passons sur la notion de “boite”. Là aussi mon sang pourrait s’échauffer. Je parle d’Entreprise. Il y a des hommes et des femmes derrière, des familles. Quand on parle de “boite”, je pense toujours à ce que disait Pierre Rabhi :
Revenons au sujet. Nous avons … “la vision interne de la boîte qui doit les rassurer à long terme. Donc ils doivent rassurer les premiers sans dévoiler des secrets ou faire penser à du racolage. Pas facile ! “ C’est très intéressant car nous touchons là effectivement à un exercice difficile. Il m’a été reproché sur un forum boursier d’intervenir et même je me souviens du mot faire “de la retape”. Faut-il avoir une vision très étriqué de la réalité ou du moins ne pas avoir fait l’effort de chercher un peu sur ce qui fait notre force et notre originalité pour sortir une pareille chose. Mais passons, encore une fois. Revenons en au fond … DEVONS nous rassurer ? Faire un communiqué ou un autre pour dire quoi ? que nous travaillons ? (bien sûr), que nous y croyons (évidement), que nous avons des clients (quelle trouvaille), que nous avons des produits et des services qui rendent utilité chaque jour (ca semble devoir être répété), que nous avons des équipes “worldclass” et dont nous sommes fiers et qui peuvent être choquées à la lecture de certains commentaires (c’est si rare … et oui, on n’a pas de “stagiaires”, de CDD, de sous traitance en Inde ou ailleurs et oui … il y a des gens avec qui nous travaillons depuis plusieurs dizaines d’années et oui, on ne fait pas dans la “startoupe” éphémère).
Bref, rassurer, cela serait assurément encore une fois mal compris et potentiellement assimilé à un conseil d’achat. On peut me reprocher beaucoup de choses mais pas celui de tomber dans un paternalisme excessif. J’essaye toujours, conjoint, enfants, collaborateurs de ne JAMAIS crée un lien de dépendance et de toujours reconnecter sur la personne, l’extérieur et non sur moi, comme un gourou de secte pourrait le faire. Comme vous le voyez au quotidien chez certains fondateurs de petites sociétés ou même de dirigeants de partis politique. Donc ce n’est pas pour commencer avec vous. J’ai trop de respect pour les uns et les autres. Par contre je crois en la force de l’exemple … regardez ce que nous publions, regardez où nous allons et faites vous une opinion. J’ai publié de nombreux liens, allez j’en rajoute un : https://www.linkedin.com/company/witbe/
Pour information, la semaine prochaine, vous pouvez nous rencontrer à Denver, dans le Colorado pour le SCTE – Cable Tech 2023 et quelques jours après à New York, pour le NAB. On vous croise ? Il y aura beaucoup de sociétés Francaises présentes ? cotées ? 😉
Continuons la série par une liste de question de Thibaut, que je remercie par son intérêt, au delà des 3 habituelles chiffres : chiffre d’affaire, croissance, résultat.
AT&T était dans la liste de vos 10 plus gros clients sur la dernière présentation investisseurs. En revanche ils n’apparaissent plus sur la dernière. Comment l’expliquez vous ? Ils ne font tout simplement plus partie des 10 plus gros ou est ce que simplement les compteurs sont remis à zéro au début de chaque semestre
Les compteurs sont remis à zero à chaque publication bien sûr 😉 Un point sur la communication de signatures de contrats, la communication de “références”. Je sais que vous en êtes friands. Nos concurrents aussi, et je ne leur faciliterait pas leur travail. On fait déjà toute une partie de défrichage de marché et de stratégie … Le sujet est qu’en règle générale, nous avons toujours une passe au juridique chez ces clients qui ne nous permettent pas de les citer en référence. Je suppose qu’il y a eu trop d’abus dans le passé et certains utilisaient ces noms pour faire leur propre publicité. Cela se comprend. Aussi, nous jouons le jeu, mais il y a une petite latitude, qui nous est laissée (sauf avis contraire), pour les salons ou justement pour les communications financières semestrielles. Nous n’en abusons pas et respectons le choix de nos clients, même si ce n’est pas forcement dans notre intérêt. Aussi, comme nous avons communiqué aux financiers présents au point semestriel, (et auquel vous pouvez toujours vous joindre). Pour l’heure et ceux qui n’étaient pas là, voici ce que je peux dire concernant la liste de notre top 10 de clients pour S1 – 2023 :
#1 : USA, xxx
#2 : Canada, xxx
#3 : Europe, xxx
#4 : France, xxx
#5 : USA, xxx
#6 : France, xxx
#7 : Suisse, xxx
#8 : Ile Maurice, xxx
#9 : Canada, xxx
#10 : Quatar, xxx
Dans un de vos articles, vous aviez mentionné un potentiel d’upsell sur les bases de Witbox déjà installées chez vos clients. Commencez vous à le voir ou est-ce un peu trop tôt ?
Oui, l’upsell a commencé sur trois axes :
le remplacement de nos anciens “robots” par la nouvelle gamme Witbox. Ceci n’est pas instantané malgré les améliorations plus que notables car les clients doivent “amortir” les anciens matériels
les extensions fonctionnelles … notre stratégie est de vendre plus de fonctions “logicielles” à partir de notre infrastructure “matériel” installée. Par analogie, c’est un peu comme pour Tesla qui installe tout ce qu’il faut dans ses voitures, pour pouvoir ensuite activer ou non des options pour une partie de ses clients, comme le FDS (la conduite autonome). Cela coute plus cher initialement, car vous avez à équiper mieux le matériel mais cela évite d’importants coûts d’opérations ensuite pour upgrader ce parc. Cette stratégie fait partie d’un plan plus global et ambitieux qui consiste à augmenter l’ARR (Annual Recurrent Revenue). Les effets de cette stratégie sont connus et conduisent à une déplacement de valeur, donc à une baisse des marges à court terme, voire du chiffre d’affaire, qui devient alors non plus une licence ou une fonction mais un abonnement mensuel.
les extensions géographiques : on reverra mieux ce point, mais délivrer des contenus videos (je ne parle pas de flux) est totalement différent de ce qu’il se passait précédemment. Il y a une inversion entre les solutions passées plus network centric pour des solutions user centric. Cela veut dire qu’il faut contrôler le service au plus près des utilisateurs, en particulier pour la publicité qui devient “user dépendant”. Là aussi, nous y reviendrons …
Cela prend du temps, nous construisons une “plateforme” complète, à l’échelle mondiale mais avons la chance de pouvoir “plugger” déjà des clients dessus. Ce n’est pas comme pour Tesla où il fallait un système de recharge avant les voitures, ce qui est beaucoup plus consommateur de capital. Par contre, je ne vous fais pas un dessin concernant l’avantage compétitif.
Comment expliquez vous la différence de dynamique entre la région étriqué et la région EMEA ? Je sais que la région EMEA souffre de la restructuration de vos activités et que vous avez fait un énorme push sur les clients nord-américains, mais y a t’il une autre raison ?
Je n’ai pas tout compris sur la notion d’étriqué. Parlez vous de la région Amérique ? En ce moment, j’ai l’impression que nous sommes entrés, tous dans une sorte de recession qui ne porte pas son nom. Tout le monde se regarde. Traditionnellement, quand de tels mouvements apparaissent, les Etats-Unis serrent la vis plus vite et plus fort et repartent plus vite et plus fort que les autres. Regardez les licenciements que les plus grands de la Valley ont annoncés en début d’année. Ont ils anticipé quelque chose ? En tous les cas, le marché des Amériques est pour nous un marché essentiel, mais nous n’abandonons pas, nous sommes têtus, des marchés complexes comme l’Asie ou notre marché initial Européen. Cela fait partie de notre “résilience”.
Je comprends que vous avez ouvert désormais votre nouveau Hub Asia à Singapour et vous avez aujourd’hui une petite équipe en place. Quand pensez-vous commercer à avoir des résultats sur cette région ?
Marché complexe et déjà nous engrangeons des signatures. Le mythe de signer des clients, assis dans son salon, sans se déplacer … est un mythe et l’Asie n’échappe pas à cette règle. Aux Etats-Unis, nous sommes présents à New York, Phoenix (Arizona), Denver (Colorado) et San Francisco (Californie). Ce n’est pas un hasard. Nous avions réduit la voilure en Asie, qui était l’un des premiers points “internationaux” que nous avions créé pour nous recentrer sur les Etats-Unis. Nous avions deux points : Hong Kong et Singapour. Re-ouvrir un centre en Asie a été mûrement réfléchi et cela a été possible parce que nous avions une partie de nos équipes qui pouvait s’y installer et nous avons recruté en parallèle des “locaux”. C’est une partie de notre “savoir faire” international pour éviter des coûts “stratosphériques” et maximaliser les chances de succès. C’est plus long, mais d’un autre coté, moins risqué.
Voici une nouvelle série sur mon blog ou plutôt la suite d’une série existante concernant la société que j’ai co-fondé et où je suis toujours, quelques années après employé.
L’idée est venue grâce à l’échange avec de nombreux investisseurs et à la lecture de commentaires sur certains sites d’informations boursiers. Il semblait y avoir une dichotomie assez étonnante entre ceux qui regrettaient de ne pas avoir (assez) d’informations et de l’autre, toute l’information que vous pouvez trouvez officiellement sur nous et qui ne semblait pas être recherchée trouvée.
Alors ici, je vais expliquer, raconter, diffuser … et peut être déjà rappeler qu’il existe beaucoup d’informations disponibles sur nos différentes sites, par exemple:
Si vous avez d’autres liens, n’hésitez pas à me les communiquer pour rajouter à ce “repository”. Idem pour vos questions. C’est un blog et les espaces commentaires sont ouverts. Je n’ai pas l’habitude de censurer, donc n’hésitez pas. Vous pourriez me demander pourquoi je ne le fais pas sur un site comme le forum de BOURSORAMA … et bien c’est assez simple et basé sur mon expérience :
je veux éviter d’être taxé de faire de la “retape” : cela m’a déjà été reproché, malgré mes avertissements : ✅
je veux éviter d’être censuré … et oui, le site boursorama ne passe pas tous les commentaires et tous les messages, j’ai déjà donné : ✅
je veux éviter de devoir saisir plusieurs fois mon commentaire lors d’un refresh générateur de pages vues sur le site boursorama (et vous perdez tout votre travail), j’ai déjà donné : ✅
En fait, je veux permettre à ceux qui veulent diffuser l’information, ajouter leur commentaire, d’avoir un lieu unique à “checker” pour leur faciliter la vie. Certains suivent mon blog, autant leur en donner la primeur. Et même plus … si l’on pouvait DIALOGUER … entre personnes responsables.
Mais aussi, je suis souvent sollicité par des investisseurs pour répondre à leurs questions, qui sont parfois assez indiscrètes et très intrusives … Hors une société cotée se doit à certaines règles et en particulier celles portant sur l’information “privilégié”. Aussi ce que je dirais à l’un sera systématiquement publié ici. As time permiting … mais je m’y efforcerais. Etre coté en bourse présente des avantages mais aussi des inconvénients, en particulier une certaine transparence dont raffolent certains de nos concurrents en mal d’inspiration et de talent … (mal) copier est facile, anticiper l’est beaucoup moins et réunir des équipes de talent “worldclass” encore moins. Tiens d’ailleurs, puisque l’on vous parle souvent des avantages, si cela vous intéresse, je vous parlerais aussi des “inconvénients” et en particulier des conséquences quand son cours de bourse ne reflète pas sa valeur intrinsèque. Je ne parle pas de l’immatériel, du capital humain, de la position sur la marché … qui traditionnellement n’est pas valorisée. On y est habitué ;-( Là je vous parle de chiffres, de faits. On y reviendra, si cela vous intéresse.
Donc c’est parti … si la bourse et notre société vous intéressent, et même si juste la bourse et des avis de l’autre coté du mur, de ceux qui ont les mains dans le cambouis vous intéressent, c’est ici que cela se passe. N’hésitez pas à bookmaker le lien : >>> ICI <<<
