Cet excellent article m’a donné le sujet de ce billet, tant il me concerne au plus haut point, avec l’entrée du “petit dernier” dans le système Américain.Ces mots qui sont dans le coeur de tout parent mais que l’on ne dit pas toujours. Sisi, je vous assure. Même si vous pensez que vous n’êtes pas concerné en tant qu’enfant, la réalité n’est pas toujours ce que l’on croit. J’ai dis dans coeur, pas dans la tête. 😉
C’est une très belle lettre, utile dans chaque moment de doute. Doute fabriqué par la société. Doute que l’on pense salvateur pour “construire” (lire : formater) nos enfants. Doute que j’aurais aimé levé bien plutôt et à chaque moments. A la veille du résultat d’examens, de compétitions, de concours. Pour nos fils, pour notre fille.Il n’est jamais facile pour un parent de trouver le mot juste, le ton juste, le moment juste pour ses enfants (ou ses proches). On le sait malheureusement quand c’est trop tard et le passé à cette constance qu’il est passé et ne peut être changé. Aussi j’aime beaucoup cette lettre et j’aurais aimé avoir le talent de l’écrire. De l’écrire et de l’envoyer à qui de droit au bons moments.
Dear Son, dear Daughter,
On the night before you receive your first college response, we wanted to let you know that we could not be any prouder of you than we are today. Whether or not you get accepted does not determine how proud we are of everything you have accomplished and the wonderful person you have become. That will not change based on what admissions officers decide about your future. We will celebrate with joy wherever you get accepted — and the happier you are with those responses, the happier we will be. But your worth as a person, a student and our son is not diminished or influenced in the least by what these colleges have decided.
If it does not go your way, you’ll take a different route to get where you want. There is not a single college in this country that would not be lucky to have you, and you are capable of succeeding at any of them.
We love you as deep as the ocean, as high as the sky, all the way around the world and back again — and to wherever you are headed.
Mom and Dad
NDLR : Tiens, d’ailleurs cela me donne l’envie d’écrire une série de billets “Dear Son, dear daughter …” pour regrouper tout ce qui fait sens, que j’ai aimé. Depuis ce billet, jusqu’à Cat Stevens et “Father & Sons”. D’ailleurs si vous aussi avez écrits / réflexions dans ce style à partager, n’hésitez pas, les commentaires sont là pour ça. Merci.
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