J’ai beaucoup hésité à publier des choses plus personnelles sur mon blog. Mais si je ne le fais pas là, où le ferais-je ?
Je pense depuis longtemps écrire “un livre”. J’ai commencé sur des sujets qui varient régulièrement tant je ne suis pas certains de “l’axe”. Plus professionnel, plus personnel ? Tant de choses à dire. J’ai vécu et je vis des choses si extraordinaires parfois que je me consume de ne pas pouvoir les partager mieux. Mais il faut trouver le ton juste. Il faut parvenir à ranger de coté son égo pour qu’une autre partie de soi, son vrai soi soit à la manoeuvre. Et encore pire même, quand les ombres, comme le dit Carl Jung s’en mêlent et me sabotent ces impérieux besoins :
Et régulièrement, l’univers complote et me sème des signes. C’est tellement énorme parfois que cela me pousse à sortir “de ma coquille”. Il faut le dire. Il faut le partager.
J’en parlerais dans d’autres billets, si je continue d’en trouver le courage.
Souvent c’est le hasard qui me donne un uppercut et me pousse aller au delà “des sabotages de l’ombre”.
Et c’est encore une fois exactement ce qui vient de se passer. Je tombe par hasard complet sur une vidéo époustouflante. Il y a tant à dire. Je découvre ce Jacob Grinberg. Etonnant. Cela me parle d’autant plus que c’est une suite naturelle, logique à de nombreux évènements compliqués pour moi, dont récemment encore un décès dans ma famille, par exemple.
Plus j’avance dans ces réflexions plus j’ai l’impression de pièces d’un puzzle géant qui s’assemblent. Beaucoup de choses s’expliquent. Je ne dis pas que c’est la vérité. Je ne dis pas que je détiens la vérité. Je dis juste qu’à un moment de sa vie, il y a des choses qui nous “parlent”. Qui résonnent en nous. Que nous sentons vraies. Il ne s’agit pas de croyance mais de … résonance.
Et si l’univers était un champ vivant, façonné par nos pensées … mais pas que.